mashiro da Liegi, 2 notizie tramite un post facebook di Jean-Michel Javaux(AD dello Standard Liegi):
- Pasko e Wander sono fuori, al minimo, dalla divisione calcio(secondo lui);
-Don Dransfield ha detto che in tempi rapidi ci saranno cambiamenti strutturali(almeno per quanto riguarda lo Standard Liegi) in tempi rapidi.
Qui di seguito copia del post in lingua originale, così ve lo traducete e non pensate a fregature 😛, e vale per tutti quelli antisocial 🙂
L’AVENIR DU STANDARD, DE SES EMPLOYÉS, DE SES SUPPORTERS, DE SES JOUEUSES, JOUEURS ET DE LA GRANDE FAMILLE ROUCHE PASSERA TOUJOURS AVANT UN INTÉRÊT PERSONNEL. A FORTIORI DU MIEN.
Quand mon premier fils est né, le premier mot que je lui ai soufflé à l’oreille est « Standard ». J’y suis abonné depuis mes 5 ans, j’étais là en 1984 lorsque nous étions 3000 personnes dans le stade. Le 20 avril 2008 est pratiquement une fête nationale pour moi, la passion s’est transmise aussi dans la famille. Je suis resté en contact avec les travailleurs locaux et les directions successives durant plus de 40 ans. J’étais là à chaque bon et moins bon moment.
Lorsque Pierre Locht a été nommé CEO suite au rachat du club, soutenu par d’autres partenaires liégeois,il a proposé mon nom aux nouveaux actionnaires à l’été 2022, et je le remercie de cette confiance. L’objectif était de soutenir l’équipe en place, les travailleuses et travailleurs locaux, de garder un peu d’ancrage liégeois dans le club, et d’aider la direction locale avec les entreprises et sponsors régionaux. De représenter aussi le Standard dans ses contacts avec les autres clubs voire parfois à la Pro League et j’ai fait la plupart des déplacements, avec trop de retours difficiles.
Rejoindre le CA de son club de coeur est un défi affectif. Peut-être pas toujours rationnel. Je précise que le mandat était totalement bénévole, sans aucun défraiement. J’étais administrateur indépendant et j’ai essayé de remplir ces missions du mieux que j’ai pu ces 2 dernières années, le CEO, le CFO et les équipes en place réalisant souvent des miracles avec les moyens qu’ils recevaient, souvent sur le gong, parfois un peu après.
NON NOUS NE SOMMES PAS COMPLICES DE 777
Depuis de nombreux mois, nous tirons les sonnettes d’alarme sur le manque d’informations sur le projet sportif à court et moyen terme, sur la situation financière de l’actionnaire principal et du groupe faîtier et l’absence physique au stade des principaux actionnaires, notamment.
Pierre a, à plusieurs reprises, signalé la situation financière critique du club l’année de ses 125 ans et le besoin de liquidités conséquentes. Si le football group permettait de répondre aux échéances à court terme, le manque de réponses des actionnaires principaux aux demandes à moyen et long terme de notre direction n’était plus supportable, nous ne pouvions plus vivre une 3e saison aussi hasardeuse et l’avenir du club était en péril.
J’ai donc présenté ma démission du CA et de toutes les structures (Immobilière, Business Center,…) afin de provoquer un électrochoc. Je savais et sentais que les équipes arrivaient au bout de ce qui était possible.
Je signalais que plusieurs investisseurs et repreneurs éventuels locaux m’avaient contacté et que je restais disponible si ils souhaitaient rester ou rentrer en contact avec eux.
Suite aux récentes révélations et évolution de la situation, Don Dransfield m’a demandé, ainsi qu’à la direction actuellement en place, d’assurer la transition, de suspendre l’annonce de ma démission car des changements structurels étaient en cours et que la situation allait rapidement évoluer. Entretemps, les 2 autres administrateurs du Standard (Josh Wander et Steven Pasko) ont été démis de leurs fonctions au sein du club.
Même « en campagne électorale », ce n’est pas dans ma nature de quitter le navire en pleine tempête, au moment où le club vit des moments très périlleux.
Ces derniers jours, tout le monde est sur le pont pour sauver le Standard, pour prendre les contacts nécessaires, utiles ou prospectifs. Beaucoup de ces contacts nécessitent une certaine discrétion et des garanties légales de non divulgation d’informations confidentielles. Ceci explique mon mutisme récent.
Je comprends l’inquiétude des groupes de supporters qui tout au long de ces dernières années ont soutenu et porté notre club contre vents et marées. Je la partage. Mais plus que jamais le Standard a besoin de toutes ses partisanes et partisans, de toutes les régions du pays et au delà.
Je ferai tout ce que je pourrai pour que notre club retrouve sa ferveur, sa fierté et sa passion. Peu importe ma position ou ma fonction. Seul l’avenir d’un Standard uni est important. Jean-Michel Javaux.